André Lamadeleine Admin
Nombre de messages : 1584 Age : 50 Localisation : Sherbrooke (au Québec) Emploi/loisirs : Chercheur en ufologie et en phénomènes paranormaux et surnaturel du genre les témoignages d'expériences de morts imminentes (EMI) Date d'inscription : 11/05/2008
| Sujet: Témoignages Québécois à Trois-Rivières (vidéo/témoignage) Sam 9 Mai - 18:27 | |
| Date de l'observation de l'ovni que Mr. Yves Angers a vue : Le 15 octobre 1996 à Louiseville
Dans le journal de montréal du 18 octobre 1996; À Louiseville, des ovnis qui ressemblant à des chapeaux haute-de-forme.
« J'ai eu la peur de ma vie. Je croyais ma dernière heure arrivée quand cette lumière éclatante a été projetée sur nous. » C'est ainsi qu'Yves Angers, un citoyen de 36 ans de Montréal, qualifie l'expérience assez terrifiante qu'il a vécue mardi soir dernier, entre 23 h et 23 h 30, à la hauteur de Louiseville sur l'autoroute 40, en roulant en direction de Trois-Rivières. Il a aperçu non pas un, mais trois objets énormes, plus gros qu'un avion, à quelque 300 pieds dans les airs, des objets en forme de chapeau haut-de-forme se déplaçant tranquillement.
Par un ciel dégagé (météo-média l'A comfirmé) et alors qu'aucun avions ou appareil du genre ne se trouvait dans cet espace arérien (les tours de contrôles de dorval et mirabel l'on confirmé), Angers et une amie, Maryse Gervais, quittent Montréal pour Trois-Rivières. "L'auto de ma copine tombe en panne, je la suivais. On transfert ses bagages dans la mienne et on reprend la route. Peu de temps après, j'aperçois cette immense chose en forme de tube, de cône, dégageant une lumière forte et mêlée de vert, de bleu qui, tout en changeant de couleur, passe du rouge au jaune orangé. J'observe alors un premier engin, puis un second nous projette une très vite lumière blanche. Je croyais mourrir. Mon amie s'est cachée à mes pieds, elle paniquait. Je tentais de la calmer. On ne savait pas du tout ce qui arrivait" nous racontait Angers, hier sur les lieux de ces apparitions.
Croyant que tout a duré 20 minutes, Angers avoue que durant cette période très éprouvante " c'étais comme si le temps avait ralenti. Je n'ai jamais eu aussi peur", dit-il encore sous le choc.
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