JOHN F KENNEDY ÉTAIT TRÈS BIEN INFORMÉ SUR LA NATURE EXACTE DES OVNISUn texte de Jean Casault C’est la conclusion à laquelle j’arrive, maintenant qu’on a la preuve officielle de l’existence de ce fameux mémo rédigé par Kennedy et adressé à la CIA. On le doit à William Lester l’auteur américain qui a écrit un ouvrage sur Kennedy “ A Celebration of Freedom : JFK and the New Frontier.
UNE LETTRE LOURDE DE CONSÉQUENCESAlors qu’il effectuait de nombreuses recherches pour son livre il a fait la demande à la CIA, en vertu de la Loi d’Accès à l’information, de documents provenant de Kennedy à cet organisme concernant la question des OVNIs. Lester est un auteur déjà engagé dans la recherche sur les phénomènes paranormaux et les OVNIS mais cette fois c’est son intérêt pour ce grand disparu qui a fait en sorte qui deux passions sont entrées en collision. Cette lettre démontre assez clairement que le président Kennedy est très au fait du phénomène ovni et qu’il relie ce phénomène à la sécurité d’État, au programme spatial et aux relations avec l’URSS.
Kennedy demande au directeur de la CIA à qui la lettre est adressée d’agir conformément à son précédent mémo adressé au directeur de la NASA James Webb visant à mettre en place un programme de coopération avec l’URSS pour la conquête spatiale et l’aventure lunaire. Il rappelle donc à ce directeur qui ne peut être autre que John Mc Cone ( nom caviardé) la teneur du mémo et passe en deuxième vitesse.
Subject : Classification reviews of all UFO intelligences affecting National Security.It would be very helpful if you have the high treath cases reviewed with the purpose of identification bona fide as opposed to Cia and USAF sources. It is important that we make a clear distinction between the knowns and unknowns in the event the soviets try to mistake our cooporation as a cover for intelligence gathering of their defense and space program
When this data has been sorted out I would like you to arrange a program of data sharing with Nasa where unknowns are a factor. This will help NASA mission directors in the defensive responsabilities. I would like an interim report on the data review no later than feb 1964.
TRADUCTION PAR UNE PROFESSIONELLEJ’ai donc demandé à une amie, traductrice professionnelle pour une agence gouvernementale à Ottawa de s’assurer que ma traduction ne comportait rien de répréhensible et qu’elle reflétait le sens et l’esprit de cet envoi. Voici ce qu’elle m’a expédié en spécifiant qu’elle n’est pas impressionnée par la qualité de l’anglais de M. Kennedy.
« Examens de classification des renseignements mettant en cause des OVNI touchant la sécurité nationale. »
Il serait très utile de faire examiner les cas de menace élevée aux fins d'identification par des sources authentiques plutôt que par des sources de la CIA et la USAF. Il est important d’établir une distinction nette entre les éléments connus et inconnus au cas où les Soviétiques tentent de percevoir notre collaboration comme étant une activité masquée de recherche de renseignements sur leur programme de défense et spatial.
Une fois que les données seront mises au clair, j'aimerais que vous mettiez sur pied un programme d'échange de données avec la NASA dans lequel les éléments inconnus seront considérés comme un facteur. Cela aidera les directeurs de mission de la NASA dans l'exercice de leurs responsabilités en matière de défense. J'aimerais qu'un rapport provisoire sur l'examen des données soit dressé au plus tard en février 1964.
Les conséquences d’une telle lettre sont énormes. Sachant que le programme Bluebook est en pleine opération au sein de l’US Air Force cela démontre :
Que le Président Kennedy était parfaitement au fait du phénomène des OVNIS.
Que la CIA est l’endroit pour s’informer sur la véritable nature des OVNIs et non pas la US Air Force malgré son mandat d’étudier le phénomène depuis 1953 ( Projet Bluebook)
Que malgré les recommandations du Jury Robertson de 1953 on s’occupe encore très activement des ovnis en haut lieu.
Que la notion de menaces élevées est associée au phénomène ovni.
Que Kennedy fait appel au directeur de la CIA et non à la CIA et l’Us Air Force pour avoir l’heure juste.
Que Kennedy est conscient de la différence entre les cas connus et les cas inconnus.
Que Kennedy est préoccupé par l’interprétation que les Soviétiques pourraient faire des inconnus et se sentir menacés à leur tour ?
Que la NASA allait être impliquée d’une façon ou d’une autre avec un dossier majeur sur les UFOS puisqu’ils sont cités à deux reprises dans cette lettre.
Que Kennedy ne recevra jamais de nouvelle de cette lettre puisqu’il a été assassiné dix jours plus tard.
LES OVNIS NE REPRÉSENTENT AUCUN INTÉRÊT ?Les Ovnis ne représentent aucun intérêt , aucune menace et aucun effort n’est mené de l’avant sur cette question. C’est ce que répondaient les organismes représentant les autorités américaines dès les premières années de l’existence de ce phénomène et c’est ce qu’elles répondent encore aujourd’hui. Des documents tels que celui-ci, tels que les 703 dossiers inexpliqués et inexplicables du projet Bluebook, tels les milliers d’autres documents du FBI viennent nous dire le contraire. Ces documents viennent démontrer qu’il y a beaucoup de gens très haut placés, beaucoup de déclarations , beaucoup de documents secrets, et beaucoup de remue-ménage….pour un phénomène qui n’existe que dans l’imagination des gens…Pour bien saisir la portée de cette lettre de Kennedy au directeur de la CIA il faut suivre à la trace l’implication de la CIA auprès du phénomène lui-même.
LA CIA ET LES OVNISLa CIA est fondée quelques semaines après l’incident de Roswell en juillet 1947. Apparemment je suis le seul sur cette planète à présenter les choses de cette façon, mais enfin. Son directeur est le contre-amiral Roscoe Hillenkoeter. Le rôle initial de la CIA, est alors de centraliser, le mot le dit, tous les services de renseignements existant. Ce qu’elle n’a jamais fait. De nos jours elle ne le fait toujours pas et c’est le Homeland Security qui assure à ce niveau. Le 15 Février 1949, le prochain directeur de la CIA le Général Charles P. Cabell, mettra sur pied le projet Grudge destiné à étudier le phénomène OVNI parce que le précédent projet soit le Project Sign dirigé par le Lieutenant Général Twining avait trop tendance à répéter à qui voulait bien l’entendre qu’il était évident que les ovnis étaient d’origine extraterrestre. Sign n’aura duré que deux ans mais Grudge ne fera guère mieux et subsistera à peine jusqu’en 1951.
Entretemps l’actvité ovnienne est loin de s’essouffler et alerte les autorités au plus haut niveau notamment à la suite de l’affaire Oak Ridge une centrale atomique et dont s’est mêle personnellement John Edgar Hoover du FBI. Le reste c’est de l’histoire, le projet Bluebook, le jury Robertson et bien sur l’infâme Commission Condon. Officiellement plus personne aux États-Unis ne s’intéresse aux OVNIS et ce depuis 1969.
LA CIA DANS L’EAU CHAUDEOr en 1979, Victor Marchetti, ancien membre de la CIA et auteur de l'ouvrage CIA and the cult of Intelligence, écrit un article dans le magazine Second Look où il indique que les ovnis n'étaient pas un sujet de conversation courant à l'époque où il en était membre. Chacun savait que ce genre d'information était considéré comme extrêmement sensible. Aux plus hauts niveaux de la hiérarchie, il avait parfois entendu des allusions discrètes concernant des récupérations de disques accidentés et des corps de petits hommes. Mais il faut être prudent puisque Marchetti a perdu en Cour pour une cause en libelle diffamatoire alors qu’il accusait d’anciens collaborateurs de ceci et de cela mettant sa crédibilité en doute ou plutôt son esprit vengeur en relief. J'ai déjà perdu une cause moi aussi cependant et j'avais pourtant raison...
En août 1997, EN RÉACTION À CE LIVRE, l'agence publie un article sur son rôle dans l'étude des ovnis de 1947 à 1990, dans lequel elle indique que de nombreuses observations d'ovnis dans les années 1950s et 1960s correspondaient en fait à des observations d'avions espions secrets U-2 et SR-71. Ce faisant, elle reconnaît avoir été active bien après 1969. Quant à cette histoire de prendre des avions qui volent à plus de 50,000 pieds pour des ovnis, c’est tout à fait possible mais explique mal des ovnis de 50 pieds survolant une autoroute.
L’ARME DE CHOIX DE LA CIA : LA DÉSINFORMATIONJ’ai expliqué dans mes trois derniers ouvrages le rôle de la CIA face aux ovnis. Un petit rappel pour ceux qui n’ont pas ces ouvrages en mains. Le magazine Time a fait paraître un reportage de leur correspondant à Washington, Douglas Waller alors que venait d’éclater un scandale à l’effet que la CIA remettait au Congrès son rapport sur l’étendue des dommages créés à la CIA, par l’espion soviétique agent double, Aldrich Ames. C’est alors qu’on découvrit que la CIA utilisait une technique baptisée de feeding. Le feeding consiste à fournir à l’ennemi de véritables informations sensibles et pouvant nuire à celui qui les donne, mais garantissant de la sorte un attachement de l’ennemi à la source. Ces révélations ont démontré à coup sûr que la désinformation est une pratique courante et très répandue. Bref, ce n’est pas du cinéma !Si, comme plusieurs le croient, le mandat confié par le NSC à la CIA est de faire en sorte que les ovnis demeurent above top secret, il est clair que la désinformation est alors une arme de premier choix. Cela ne signifie pas que les architectes du projet de désinformation de la CIA sur les ovnis, croient forcément en leur existence. Ils croient cependant, à juste titre peut-être, que cet engouement est déstabilisant.! Tout comme la création de la CIA est comme par hasard située dans le temps, à deux mois des événements de Roswell, un autre grand changement au sein de l’agence survient lui, un mois après une autre situation mettant les ovnis en cause : le Jury Robertson.
La nomination d’un civil à la tête de la CIA, Allan Dulles, coïncide avec les conclusions du Jury Robertson sur lequel je vais revenir plus bas. C’est de cette époque que datent les premiers rapports pouvant être associés à une forme de désinformation. Au lieu de simplement s’attarder à démolir les ovnis en ridiculisant les témoins, voilà que sont apparus des rapports d’ovnis extraordinaires, provenant de témoins tout aussi incroyables. Faisant front commun mais sous une étiquette différente, ces personnages ont considérablement nuit à l’image ufologique dans le monde : George Van Tassel et son contact Ashtar, les périples en vaisseau de Adamski, Howard Menger, Bethurum et Fry notamment qui disaient se promener en soucoupes volantes avec des Vénusiens et la liste s’allonge jusqu’à nos jours. On soupçonne également la CIA de passer des commandes spécifiques à certains réalisateurs de films et de nos jours les sites internet de ce genre abondent plus que jamais. Ils ont joué le rôle d’agitateurs !
La démonstration est désormais chose faite : la CIA a toujours pratiqué la désinformation et le fait encore de nos jours, pour nuire à la crédibilité de la recherche ufologique. Pour cette raison, il m’arrive de penser que les milliers de films et vidéos de crétins qu’on retrouve sur YouTube et Daily Motion sont de la désinformation pure et simple.
TOUT POUR TUER L’OVNI DANS L’ŒUF…MÊME ÉCLOSEn 1973 le journaliste J.F Delpech Laborie, rédigeait un excellent résumé de la situation et une fois de plus pour comprendre le contexte dans lequel Kennedy écrivait sa lettre il importe de s’y replonger. D’une part il rappelle que c’est au cours de la seconde guerre mondiale que le regard des autorités s’est porté sur ces phénomènes par l'intermédiaire des pilotes de guerre, dont il ne faut pas oublier le nombre considérable de rapports, à tel point dit-il, que l'armée de l'air nazie, la Luftwaffe, créa en 1944 un «Bureau Spécial 13» chargé d'étudier ces rapports, activité prenant le nom code d'opération «Uranus. »
Un an plus tôt, les services de renseignements britanniques avaient eux aussi formé un organisme d'enquête qui put établir, par le canal d'un agent double, que les objets mystérieux n'étaient pas d'origine allemande et causaient les mêmes soucis à ces derniers. Comme ceci le démontre, ce sont donc les services de renseignements qui, en temps de guerre, se sont occupés en priorité des ovnis.
( La télésérie Project UFO diffusée en 1978 serait basée sur cette Commission, alors que d’autres prétendent que c’est Bluebook qui l’a inspirée.)On a déjà parlé de SIGN, la première Commission créée devant le nombre croissant des observations et les réactions du public. Depuis le début des événements, l'U.S. Air Force (U.S.A.F.) feint la plus totale ignorance. Elle a pourtant déjà eu l'occasion d'étudier des rapports similaires, ceux de ses pilotes pendant la guerre et de ses bases scandinaves en 1946. «Project Sign» est placé sous la responsabilité de l'A.T.I.C. (Service de Renseignement technique de l'U.S.A.F.) à la base de Wright-Patterson, Dayton (Ohio) Il dispose de moyens importants et son travail est très actif. Ce sera la première et la dernière Commission américaine sérieuse. En septembre 1948, « Project Sign » fait parvenir au chef d'état-major de l'U.S.A.F. un rapport top-secret, «The estimate of the situation». Ce rapport soutient clairement l'hypothèse de l'origine interplanétaire des U.F.O. «Project Sign» n'y survivra pas ! Le Pentagone repousse ses conclusions, puis le dissout purement et simplement. C'est la première amorce de la « politique du secret par dessus laquelle Kennedy veut passer si on saisit bien le sens de sa lettre. »
GRUDGE VEUT TOUT DIRE : RANCŒUR..Le 11 février 1949, le défunt « Project Sign» est transformé en « Project Grudge » La mission est de faire oublier Sign et ses tergiversations sur l’origine extraterrestre par le biais d'explications parfaitement douteuses et arbitraires. Ce traitement réussira si bien pendant toute l'année 1949, qu'il aboutira à un pourcentage négligeable de cas inexpliqués lors du rapport final de la Commission, en décembre, ce qui entraînera ipso facto la suppression de « Project Grudge ". Durant presque deux ans, toutes les observations seront impitoyablement rejetées aux oubliettes, c'est-à-dire dans les archives de l'A.T.I.C. Il faudra attendre octobre 1951 pour que «Project Grudge » soit rétabli, à la suite d'une observation d’ovni survenue en présence d'importantes personnalités.
La direction est alors confiée à un officier de renseignement de l'A.T.I.C., le capitaine Edward Ruppelt dont la première tâche est de former une sous-commission, «Project Bear», véritable bureau scientifique composé des spécialistes de diverses disciplines. Ses pouvoirs sont encore accrus lorsque la Commission prend le nouveau nom de « Project Blue Book », en mars 1952. Tout ceci aboutit à une augmentation considérable des observations inexpliquées dans les statistiques officielles. Est-ce précisément cela qui gêne alors un certain service de renseignement, compte tenu de l'atmosphère générale consécutive à la vague de 1952 ? soulève le journaliste Laborie ? Quoi qu'il en soit, un jury scientifique est réuni en janvier 1953 par le Pentagone pour statuer définitivement (!) sur le problème U.F.O : Le Jury Robertson.
LE JURY QUI VOULUT TUER DÉFINITIVEMENT L’OVNI GÊNANTCe Jury va changer l’ufologie américaine ce qui donne à la lettre de Kennedy tout son poids. C’est tout comme si en parlant de bona fide il interpelle le directeur de la CIA en lui disant poliment : cut the bullshit ou si Kennedy avait été Québécois : fais moi pas chier avec des restrictions…
Rappelons que tous les détails concernant le Jury Robertson sont connus grâce aux documents découverts par le Dr Mac Donald au siège de l'A.T.I.C. en 1966. Le Jury se réunit au Pentagone à partir du 12 janvier 1953, il est composé de plusieurs experts, présidés par le physicien H.P. Robertson, mais aussi du directeur de l'A.T.I.C. et de trois personnalités importantes de la C.I.A. Le « Project Blue Book » dépose ses conclusions, qui envisagent favorablement la réalité concrète des U.F.O. Au moment du rapport final, la C.I.A. se précipite au service de la science ! Elle réclame du jury un verdict négatif, qui couvrira une série de recommandations secrètes de la C.I.A. exigeant «...une réfutation systématique des soucoupes volantes en vue de réduire l'intérêt du public pour ce sujet... ». Prétexte officiellement invoqué par la C.I.A. : tarir la source publique des informations, afin d'éviter que les réseaux de renseignements des services secrets ne soient submergés. Deux règlements, maintenant célèbres, sont promulgués à cet effet : A.F.R. 200-2, qui organise l'acheminement des observations, et J.A.N.A.P. 146, qui considère la divulgation de toute information au niveau des bases, comme un crime passible de 10,000 dollars d'amende et de dix ans d'emprisonnement. Dans le motif officiel avancé par la C.I.A., on peut déceler une contradiction qui éclaire du même coup sa duplicité. Ce motif est donc le prétendu besoin pour la C.I.A. de débarrasser ses réseaux de renseignements de rapports présentés comme inutiles et dangereusement encombrants. Voilà qui donne un sens à la lettre de Kennedy à John Mc Cone.
En effet ce dernier sait très bien que la CIA possède d'une part des réseaux suffisamment étendus, organisés, perfectionnés, et en possède suffisamment le contrôle pour ne pas risquer de les voir brouillés à tout propos. D'autre part, elle est libre de n'acheminer par ces canaux que les renseignements qu'elle estime dignes d'intérêt et elle peut rejeter à sa guise, les informations superflues, sans avoir besoin de recourir à la censure de l'U.S.A.F.
TOUT CA POUR UN PHÉNOMÈNE..QUI N’EXISTE PAS ? Comme le rappelle fort justement Laborie, ou bien les OVNIS ne sont que fantasmes aberrants, et pourquoi s'en embarrasser ou bien ils sont bien réels et constituent une préoccupation majeure.
La lettre de Kennedy est donc extrêmement importante ici et révèle à tout le moins à l’esprit le plus sceptique et le plus obtus qui de toute manière ne lit pas ce texte, que le phénomène ovni qui n’existe pas, qui n’a aucune fondation sérieuse, qui n’est qu’une série de fadaises, aura quand même dérangé bien du monde, produit de nombreuses Commissions d’enquêtes officielles et suscité un intérêt certain auprès des plus hautes autorités des États-Unis et comme d’autres textes le démontre du Canada, de La France de la Grande Bretagne, du Japon, du Chili , de l’Argentine, du Brésil, de l’ancienne URSS, de la Pologne………………………………..
SUFFISANT POUR TUER L’HOMME ?C’est la question qui intéresse tout le monde. Si Kennedy pousse dans ses retranchements la CIA et toute autre organisation à sortir le « vrai stock » concernant les OVNIs et non la bullshit bien connue de la CIA et de la US Air Force, la réponse à cela est non évidemment, parce que les ovnis n’existent pas et les États-Unis ne cachent rien de particulier.
Mais supposons, on parle là, juste de même, alors disons que pour la forme, Eisenhower a effectivement été contacté dans les années 50 après que les autorités de la base 509 de Roswell aient récupéré les corps d’un vaisseau étranger qui s’est écrasé en 1947…est-ce que c’est possible alors que la demande de Kennedy soit perçue comme une menace extrême advenant le cas que cet être détesté ad nauseam à la fois par Edgar Hoover du FBI et l’ex-directeur de la CIA Allan Dulles qu’il a foutu à la porte quelques temps plus tôt, décide de rendre public ces états de faits ?
Source: http://www.centretudeovnis.com/index.php?option=com_content&view=article&id=220:troublante-lettre-de-jfk&catid=37:doc-dossiers-ufologiques&Itemid=41